DSK, comme d’autres « courageux » déserteurs », élus, qui se sont si bien servi du PS, crache aujourd’hui dans la soupe qui l’a nourri et souhaite sa disparition…
Mais la France a besoin d’un grand mouvement de gauche, porteur d’une vision humaniste de la Société, entre le libéralisme échevelé d’Emmanuel Macron et les incantations égalitaristes de Jean-Luc Mélenchon.
Un nouveau parti capable de porter les aspirations d’une grande partie des Français à une société épanouissante qui offre à chacun les conditions favorables pour réussir sa vie, qui crée de l’harmonie sociale, donne à tous les moyens de trouver un sens à leur courte existence. Des aspirations que de nombreux électeurs de gauche ont cru susceptibles de satisfaction dans les engagements du candidat Macron. Hélas, très vite ils ont compris que ce n’était qu’une illusion. Ils sont restés avec leurs attentes qui, elles, sont éternelles : vivre mieux, vivre ensemble, vivre et exister au sein de la société humaine…
Une fois définie la société idéale, une fois située l’étoile qui doit nous guider, reste à définir le chemin à construire pour l’atteindre et commencer à avancer et faire que chaque pas effectué soit un progrès vers l’objectif.
C’est bien de cette société là, sans classes, sans misère, sans injustices dont rêve la parti socialiste. Avec de nombreux échecs, de nombreuses déceptions engendrées. Mais je reste persuadé que la majorité de nos concitoyens, en France, comme dans le Monde continuent de rêver à l’harmonie. Et seul, un parti organisé, rassembleur, rénové, peut porter cette espérance.
Alors peut-être ne s’appellera-t-il pas Parti Socialiste… Mais qu’importe le nom, le libéralisme a atteint les limites du supportable tant pour le genre humain que pour la planète.
Forgeons alors, sous quelque nom que ce soit, dans un grand élan, l’outil pour répondre à notre volonté d’un Monde plus beau.